Dans ces années là, le nouveau projet d’établissement vise à faire des enfants des hommes et des femmes debout, responsables et libres, qui prennent en charge et développent leur propre responsabilités.
Dès les années 60, l’Institution s’est ouverte au monde par des échappées en France, notamment en Normandie ; dans les années 80, par des escapades en Angleterre, puis en Allemagne et en Espagne ; dans les années 90, par une « initiation européenne » en anglais, époque des représentations théâtrales des œuvres de Shakespeare ; et par le chant choral.
Par le sport, et la création de l’ASSEL en 1968 (UGSEL aujourd’hui), elle se mesure aux autres dans diverses compétitions aux niveaux départemental, régional, voire national : basket, hand, gymnastique, cross, athlétisme.
Au début des années 90, elle se dote d’un CDI, implanté dans les anciens dortoirs du collège délaissés en 1973. Mais Ste Cécile c’est aussi la solidarité : opérations « actions-écoles », partenariat avec la Croix Rouge (années 90), le Secours Catholique, la Conférence St Vincent de Paul, les « restos du cœur » (années 2000), le Téléthon, les rencontres avec nos aînés… Enfin, avec la mise en place d’une trame pastorale, c’est l’expérience à nulle autre pareille dès 1999, d’un cheminement sur les chemins de Compostelle… Les directions laïques se sont succédé, chacune apportant sa pierre à l’édifice, jusqu’à ce jour de septembre 2016, où le collège s’est déplacé sur le site de Nermont.
Perché sur le plateau dominant la ville au sud, le collège veille sur le berceau de la rue de Jallans, où désormais les classes maternelles et primaires sont regroupées.